Françoise Mayeras nous dit :
Après de nombreux voyages, tous ces personnages rencontrés et non photographiés ont surgi par hasard en totems et idoles grâce au papier maché.
En février 1991, l'atelier-peniche coule. Toutes les sculptures se dissolvent pour nourrir la mémoire de la Seine et de la mer.
En mars 1991, je commence le ciment, qui, à l'encontre du papier, a besoin d'eau. Ainsi apparaissent des personnages, plus rudes, plus denses, plus solitaires, avec un vague espoir d'éternité.
En 1995, lors d'une balade, je découvre sur les rivages des bois rejetés à l'apparence de silhouettes. Ainsi commencent "les échoués". Sans intervenir sur ces bois, avec le temps, des personnalités uniques réapparaissent. En alliance avec le bronze, renaît ce qui semblait détruit.
En février 1991, l'atelier-peniche coule. Toutes les sculptures se dissolvent pour nourrir la mémoire de la Seine et de la mer.
En mars 1991, je commence le ciment, qui, à l'encontre du papier, a besoin d'eau. Ainsi apparaissent des personnages, plus rudes, plus denses, plus solitaires, avec un vague espoir d'éternité.
En 1995, lors d'une balade, je découvre sur les rivages des bois rejetés à l'apparence de silhouettes. Ainsi commencent "les échoués". Sans intervenir sur ces bois, avec le temps, des personnalités uniques réapparaissent. En alliance avec le bronze, renaît ce qui semblait détruit.
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